L’artiste Loris Gréaud atteint par le virus de l’autodestruction
L’artiste Loris Gréaud atteint par le virus de l’autodestruction
« C’est, de loin, la critique la plus ignorante et mal écrite que j’aie jamais lue (…). Je vous invite à étudier un peu la littérature, beaucoup l’histoire de l’art (…) et à vous trouver un petit ami bourré de stéroïdes. » Voilà l’élégante réponse que la journaliste Lauren Smart, du Dallas Observer, reçut de l’artiste Loris Gréaud. Faute commise par cette « frustrée » ? Avoir traité de « vide, prétentieuse et futile l’exposition « The Unplayed Notes » que le Français venait d’ouvrir, le 18 janvier, au Dallas Contemporary. L’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais Smart la rendit publique. Ce qui fit aussitôt le bonheur consterné des réseaux sociaux. Un Frenchy sexiste qui pète les plombs ?